Le logiciel est plutôt simple puisqu’il y a un gros bouton rouge avec marqué toucher et dictez donc je touche et je monte ensuite tranquillement au jeudi et enregistre le son et je suppose qu’un système qui le convertit le contexte je sais pas du tout comment ça fonctionne
Aujourd’hui je viens d’acquérir un nouveau logiciel de dictée vocale du coup j’ai décidé d’écrire un billet de blog complet avec ce logiciel dont je peux leur faire un peu de publicité peut-être essayer de me drague comme d’échelle ou Dragon dictation S 😉 que c’est une société qui fait déjà de la reconnaissance vocale depuis de longues années et là je je pense que c’est plutôt intéressant et plutôt sympathique puisque je dis que mon billet vocalement et ensuite j’envoie un e-mail au système immobilier faut juste à avoir trop heures dans les transports de t’avoir ridicule ne a parlé tout ce
Plus jeune, à l’école primaire, on regardait le dessin animé « Inspecteur Gadget ». Ce qui nous fascinait tous était la montre de la fillette. Elle avait un écran où elle voyait en direct son complice, l’inspecteur, et plein de touches qui lançaient divers gadgets.
Quand j’ai changé d’opérateur de téléphonie mobile, j’en ai profité pour changer de GSM. Mes utilisations étaient les suivantes :
– téléphoner et envoyer des SMS
– agenda : pour rappels et pour synchro avec mon geek
– lire des PDF (mes cours de fac, des articles)
– prendre des photos (à mon grand étonnement j’en ai pris pas mal, et avec flash)
– jouer, dans les transports citadins ou dans le train
Je n’allais pas sur Internet car mon forfait ne me le permettait pas, mais je squattais les smartphones de mon entourage dès que possible.
Bref, la synchro des agendas m’a fait choisir mon modèle de GSM actuel. Comme il est avec un clavier azerty, je peux y rédiger mes billets, mes e-mails et des SMS plus longs. Combiné à un accès Internet, je me sers de mon GSM comme d’un organiseur qui téléphone.
Du coup, je considère vraiment que je bénéficie d’un mini-ordinateur personnel. Avec le GPS et un logiciel de carte, je peux avoir vraiment mon assistant, comme Sophie dans l’Inspecteur Gadget. Avec le gyroscope intégré, non seulement j’ai quelques jeux rigolos mais surtout je peux avoir mon clavier à l’horizontale, ce qui me laisse plus d’espace pour taper mes mémoires. En plus, le correcteur orthographique supporte les approximations de mes doigts malhabiles et enregistre mon dictionnaire (c’était déjà le cas sur mon précédent téléphone, notez).
Du coup, je me cramponne à mon téléphone-ordinateur-organiseur. Si je le perdais, je me sentirais un peu nue. Les rares fois où je l’ai oublié en sortant de chez moi, je m’en suis passée pour la journée, mais je me suis sentie coupée de mon réseau, un peu diminuée.
Bref, je suis contente d’avoir un ordi comme Sophie de l’Inspecteur Gadget. Et j’utilise beaucoup cet outil mobile pour prendre des notes et communiquer avec mes proches.
Plus de détails au prochain numéro.
En ce moment et depuis 15 jours, voire un mois, chaque
journée est différente. J’aspire en ce moment à une routine qui me
permettrait de souffler. Par exemple, le soir, vous dînez, un suppo
et au lit ? Chanceux !
Nous, on cherche ce qu’on va manger, on tire
au sort qui fera le bain du bébé et si ce sera avant ou après le
repas. Le repas se fait toujours au même endroit mais nécessite
selon les jours de la cuisine ou un simple réchauffage. Ensuite si
on peut encore tenir nos yeux ouverts, suite au réveil matinal, on
scotche devant la TV, mais…pas toujours.
Il arrive souvent qu’on
sorte ou qu’on reçoive ; dans ce cas, le coucher est à géométrie
variable. En ce cas, le lavage de vaisselle et le rangement de la
cuisine sont compromis, remis aux calendes grecques. Mais le pire,
c’est le matin ! Entre le réveil entre 4:00 et 8:00 organisé soit
par les chats en quête d’affection, soit par un bébé en quête de
bouffe, ou inversement, et les impondérables du matin, j’aimerais
un peu avoir une routine. Je pourrais ainsi sans réfléchir langer
et nourrir bébé, alimenter les chats, me rendre présentable au
Monde, avaler un bon ptit dej et arriver au boulot sereinement, en
ayant déposé bébé en sécurité chez la nounou.
Par exemple, ce matin, premier jour de mon nouveau job. J’ai foncé pour être
ponctuelle, au détriment de mon apparence (zéro maquillage avec une
nuit de 3:00 et pull avec du vomi de bébé, c’est tout juste si j’ai
pensé au déodorant). Mon geek a emmené bebegeek chez la nounou avec
la couche débordante…ce qui a enchanté la nounou, comme vous
pouvez l’imaginer. J’ai failli laisser les chats crever la dalle,
heureusement qu’elles se manifestent fortement !
Bref, je raconte ma vie pour expliquer que la routine permet de passer au niveau
supérieur d’occupation. J’ai quelques routines comme mettre GSM et
clefs dans mon sac avant de sortir de chez moi, ou mettre mes gants
dans la poche droite de mon manteau. Et ça ne me suffit pas. J’ai
hâte que la routine fasse son apparition en ce moment, je l’avoue.
Ma Devise « chaque heure, une aventure » est épuisante.
En ce début d’année 2011, je lâche du lest sur les choses que je dois faire, par rapport à ce qui est vraiment important. Je continue GTD à mon rythme entre papier et GSM et j’ai aussi un calendrier mural dans ma cuisine pour les RV importants à communiquer. La technique et la technologie ne sont pas la solution à tout. Cependant, je note sur le calendrier papier les RVs
importants – pour que mon conjoint en aie connaissance – et je mets aussi des rappels dans l’agenda de mon téléphone. Doublon ?
Peut-être mais aussi une sécurité type ceinture et bretelles. Ce qui me fait plaisir c’est que j’ai sûrement perdu mes lecteurs à passer 6 mois sans activité et je vais pouvoir repartir de zéro avec de nouvelles rencontres. Durant (faute corrigée) ces derniers
mois, j’ai beaucoup commenté chez les autres et limite j’aimerais bien récupérer ces commentaires sur ce blog. Il doit exister une possibilité technique, si quelqu’un a une idée, qu’il le dise.
Commenter chez les autres m’a permis de discuter et de me trouver
de nouveaux centres d’intérêt. Du coup, j’ai eu envie de migrer vers la nouvelle version de WordPress qui permet de gérer du multi-blog…mais ce n’est pas si simple. Notamment pour récupérer le contenu ancien. Voilà un chantier d’envergure pour 2011 :
unifier ma présence sur le net du pointde vue contenus et cela
passe par un travail sur des data. Hmmm on va se régaler. Au niveau
contenu :
• plus de personnel (avancement des projets), news et humeurs
• un peu de technique aussi, même si ça ira plutôt sur mon blog professionnel
• un peu de fantaisie et de créativité :
signalement des publications sur mon blog créatif
• des idées car j’en ai plein en tête et je ne peux pas tout faire moi-même. Soit
cela sera repris par d’autres et tant mieux s’ils font fortune, soit cela me fera une archive.
L’autre jour dans un magasin de quartier (une supérette bio), je me suis rendue compte que le système de fidélité « à l’ancienne » était plus simple et plus économique que les cartes de fidélité plastiques.
Alors pourquoi les cartes de fidélité plastiques sont-elles tant utilisées ?
Ces cartes sont parfois associées à des informations de paiement, et surtout elles couvrent plusieurs boutiques de l’enseigne.
Même si chaque membre du compte doit se balader avec sa carte plastique, le gain (parfois supposé) et l’expédition que représentent des courses en supermarché oblige une organisation logistique. Quand on oublie sa carte, les achats ne comptent pas.
Le système des comptes nominatifs en magasin est plus écologique et plus agréable.
Il suffit de citer son nom (ou celui du compte) pour que la réduction soit enregistrée dans la caisse. Même si la boutique a plusieurs caisses, le réseau local permet de synchroniser les machines. On peut créditer un compte familial ou d’un ami, grâce au nom.
Nul besoin de se munir d’une carte pour prouver à qui appartient le compte, aucun objet matériel n’est requis.
La boutique n’a pas à produire de cartes à distribuer à ses clients. C’est une économie pour le commerçant.
Le compte fidélité est donc simple à l’usage, pour la mémoire et pour le commerçant.
Le seul défaut que j’y trouve serait celui des homonymes (bon personne n’a le même nom que moi au magasin près de chez moi.
Bref, le système le plus ancien est le plus simple et le moins coûteux.
le véritable enjeu, pour les hackers, n’est pas de trouver “LA” solution au problème qui leur est posée, mais d’en trouver 100…
Philippe Langlois, du /tmp/lab, organisateur du Hacker Space Festival
Aha, une petite nouvelle en speed, pour surpasser mes histoires de torchons…je suis lyonnaise depuis peu. Encore la tête dans les cartons, la lutte pour trouver ses affaires « au bon moment ».
Les moments joyeux sont ceux où je me dis que je vis avec un savon, 7 tee-shirts et du pain. Ceux où j’imagine les améliorations qu’on va pouvoir apporter avec des rideaux (chaleur), des tapis (chaleur), des boîtes (vue dégagée), un électroménager fonctionnel (repas diététiques), quelques pots de fleur remplis (détente) et quelques trous dans les murs (rangement).
Je ne parlerais pas des moments rageux où le confort se met à manquer, et où les noms d’animaux et les reproches fusent. Je cherche à réduire ces moments, à créer un foyer acceuillant et pas trop encombré.
Nous rêvons bien grâce aux logiciels pour modéliser cuisine (Ikea) ou appart et meubles en 3D. Nous imaginons toutes les possibilités correspondant à notre usage et notre mode de vie.
Le futur s’annonce bien et nous y travaillons chaque jour.
Cela fait deux fois d’affilée que le repas préparé par mes soins brûle. Nous n’avons pas goûté ces mini-cannelés sucrés, et notre casserole a pris cher (à moins que ce ne soit l’accessoire en silicone) lors de la cuisson des haricots verts.
Les deux fois, j’ai mis à cuire et suis partie de la cuisine, avant de revenir en courant, 20 minutes après attirée par l’odeur du brûlé. Pourquoi ?
Nous n’avons plus de minuteur. Nous utilisions celui du four Micro-Ondes, qui a brûlé les cannelés, et qui a tendance à monter avant de redescendre. Tu programmes 3 minutes, tu reviens, il décompte 9:59, 9:58, sans broncher.
Je ne peux donc pas vivre sans minuteur (et celui de mon téléphone est trop long à trouver…) et je ne veux pas rester dans ma cuisine à attendre la fin de la cuisson….
Depuis quelques semaines, je pratique GTD à l’envers : au lieu de lister ce que j’ai à faire, je liste ce que j’ai accompli. C’est plutôt motivant, et gratifiant, à la fin de la semaine de voir que malgré les moments de fatigue, de déprime et de désillusions, on a réussi à caser des petites avancées.
Par exemple, cette semaine, j’ai, par ordre d’importance GTD dirons-nous :
En lisant cette liste, je me sens plutôt fière du travail accompli. Surtout que cette semaine a éclairci et sécurisé mon avenir professionnel et ma sécurité matérielle.
Je suis plutôt contrariée d’avoir détérioré mes relations familiales, même si je ne me sens pas responsable à 100%. Je cherche un moyen de ramener la paix et le calme : cela passera encore par de la communication.
C’est plutôt rassurant aussi de se dire que tout peut basculer : une semaine qui avait mollement commencé, sur un futur peu avenant s’est transformée en une semaine trépidante, s’ouvrant sur un futur prometteur. 
Et c’est grâce à deux choses, selon moi :
En cette fin de week-end, je peux déclarer : semaine accomplie avec entrain et regain d’énergie ! DTG !
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