Mogore qui roule n’amasse mousse
août 24th, 2008 publié dans Extraordinaire, Vélo | 3 commentaires »Le jour de l’anniversaire de ma sœur, j’ai débarqué dans le Jura au volant. Très fière de moi, j’ai klaxonné pour que mes parents sortent et apprennent que j’ai eu mon permis de conduire !
Après 3 anciens essais infructueux, j’étais un peu démotivée à repasser le permis de conduire. Ma plus grande motivation était de pouvoir conduire moi-même, parce que j’ai peur en voiture.
Finalement, ma méthode a été de m’inscrire en le cachant à tout le monde (sauf à mes collègues qui devaient me couvrir, le cas échéant, auprès de mon geek, quand je rentrais tard du boulot).
Mon geek a découvert le pot aux roses, et, heureusement, il a pu me soutenir en me [censuré] la veille de l’examen pour me détendre. J’ai avoué aussi à mes frère et sœur, et à quelques rares personnes mon projet.
A l’heure actuelle, j’ai conduit tous les jours, sur trois voitures différentes (taille, boîte de vitesse, essence/diesel), et j’ai fait un bout d’autoroute (500 km), de la montagne, de la ville de province, de la ville dans Paris. Mon expérience est donc très limitée.
Mes premières réflexions sur la conduite sont les suivantes :
- Les conducteurs sont en majorité discourtois et inciviques. Le code de la route est globalement bien respecté, et cela fonctionne. Mais combien de rabattage sous mon capot sur l’autoroute, de déboîtage sans clignotant, etc ?
- On essaie de s’installer confortablement au volant, ce qui favorise l’assoupissement, alors que, surtout sur autoroute, on cherche à éviter de s’endormir. Cela me dépasse encore.