A emporter avec soi en Russie
octobre 1st, 2008 Posted in TranssibérienDans nos bagages (collectivement, je n’avais pas pensé à tout), nous avions pas mal de choses, et je tiens à lister ce que je vous conseille de prendre.
Ce qui nous a vraiment été utile.
- un sac de courses en toile : léger, ça se cale dans une poche, et ça a contenu nos provisions durant un long moment
- des thermos : on en avait deux, et c’était bien pour faire des thés différents. La thermos, dans le train, ou même à l’hôtel, permet d’éviter les aller-retours trop fréquents au samovar. (Mais peut empêcher les rencontres aussi).
- savoir lire le cyrillique : pour lire des plans, des panneaux, c’est quasi indispensable
- un guide de conversation : on avait notre Assimil. C’est petit, ça tient dans mon sac à main, et les translittérations du cyrillique en latin sont exactes. Au pire, si vous ne lisez pas le russe, vous pouvez montrer les phrases aux gens à qui vous voulez parler.
- un blouson imperméable (type K-Way) : Au Baïkal, on s’est pris une bonne saucée, et ce n’est pas une surcharge, sur un trajet aussi long de pouvoir se protéger de la pluie
- des tasses : pour boire dans le train et en pique-nique. Sachez que la provodnista peut vous en prêter !
- du PQ : il y en a en Russie. Mais il ressemble à du papier recyclé. Il est assez rêche. Donc il doit très bien se biodégrader, mais quand on fait ses besoins, on a parfois besoin d’un peu de réconfort.
- un gant de toilette
- un couteau : attention à le faire passer en soute de l’avion, surtout. Je suis une femme Opinel, et mon geek est un homme Laguiole, mais je conseillerais un couteau-suisse, pour l’ouvre-boîte.
Les trucs utiles, mais pas indispensables
- de la crème solaire : pour moi, c’est écran total tout l »été, alors en Sibérie, par 30°C, je n’ai pas regretté ma crème solaire en spray
- de l’anti-moustique : pareillement, mon sang sucré attire toutes les fumelles moustiques du coin, au point que je peux servir d’anti-moustiques pour les autres
- une éponge : pour faire la vaisselle quand on pique-nique
- une bassine souple : pour la vaisselle. La notre se repliait seule, et c’était gênant.
- des photos de notre famille : pour chasser le spleen, mais surtout pour taper la discut’
- des jeux de société : notamment Bonjour Robert, qui est facile à expliquer dans une langue étrangère
- un baladeur : je n’en avais pas, mais tous les autres avaient leur baladeur MP3
ce que j’ai regretté de ne pas avoir emporté :
- un couteau suisse